En nous invitant à suivre les tourments intérieurs d’un auteur inquiet, Pelle Forshed nous livre une satire ironique du monde de la bande dessinée, explorant la solitude urbaine et la quête de reconnaissance.
Si la publication de cette BD se déroulant au Groenland n’est qu’une coïncidence de calendrier, sa résonance avec l’actualité (coucou Trump !) est pour le moins troublante. La Terre verte, c’est une épopée prodigieuse, une danse macabre réunissant Shakespeare, Tartuffe, Ubu Roi et Machiavel.
Un western en forme de road-movie entre un vieux hors-la-loi et un jeune orphelin sourd et muet. Une chevauchée pleine de surprises, rythmée par les lettres de Calamity Jane, en compagnie d’un duo improbable pour une histoire captivante.
Emmanuelle Friedmann et Céline Bailleux décrivent avec précision et authenticité les troubles d’apprentissage d’une enfant diagnostiquée « TDAH », et le parcours semé d’embûches de sa mère pour l’aider.
Jolie et joyeuse résurrection de Petit Vampire, désormais au main d’une nouvelle équipe qui perpétue bien l’esprit de Sfar, en apportant de nouvelles tonalités, tant graphiques que scénaristiques. Une réussite.
Quand une BD dont on n’attendait pas forcément grand-chose réussit à surprendre à ce point, on ne peut être que ravi ! Derrière ses allures de récit jeunesse, Alouette s’avère en fait un long cauchemar d’une puissance inouïe, révélant du même coup un auteur dont il faudra retenir le nom.
Après le très beau Dracula de Georges Bess, Glénat propose à Marco Cannavó et Corrado Roi de donner leur propre interprétation de Frankenstein, le second mythe fondateur de la littérature fantastique.
Seconde réédition d’un « carnet de Sfar » essentiel, Greffier, qui contient le contenu détaillé des débats durant le procès intenté contre Charlie Hebdo par des organisations musulmanes : près de 20 ans plus tard, la parole des avocats de la liberté d’expression reste précieuse. Et nécessaire…
Les riches ont fui, l’humanité est morte, la planète est toxique. Viktor Hachmang nous invite à découvrir le désastre à travers l’histoire de Geo, un éboueur qui lutte pour survivre et trouve de la beauté parmi les déchets.
Brunilda à la Plata, c’est un rendez-vous amoureux qu’on ne peut pas manquer sous peine de rater sa vie, un genre de graal où réel et fiction s’entremêlent pour évoquer les affres de la création, dans une bande dessinée fascinante et un brin caustique, par un jeune auteur espagnol à l’univers très particulier.
Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site. Si vous continuez à utiliser ce dernier, nous considérerons que vous acceptez l'utilisation des cookies.J'accepteJe refuseEn savoir plus
Vous pouvez révoquer votre consentement à tout moment en utilisant le bouton « Révoquer le consentement ».Révoquer les cookies